Mobilisés pour ne pas être oubliés
Les salariés de l’IMPP Château d’Urac à Bordères/Echez (Pays de Tarbes) étaient dans les rues à Toulouse aux côtés des «oubliés de la revalorisation salariale du Ségur».
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Communiqué de la CGT de l’IMPP Château d’Urac à Bordères-sur-l’Echez (Pays de Tarbes, Hautes-Pyrénées), après la mobilisation des acteurs de la santé sur la place du Capitole à Toulouse, ce mardi 1er février 2022. Comme les autres salariés du secteur social et médico-social, ils estiment être «oubliés de la revalorisation salariale du Ségur».
«La journée de grève nationale du 1er février a eu raison de la mobilisation à l'IME. Malgré la situation que nous vivons depuis deux ans, l'ensemble des professionnels est toujours resté mobilisés et disponible pour remplir leurs tâches. Nous sommes des professionnels : de l'éducatif (éducateur spécialisé, moniteur éducateur, éducateur technique spécialisé, éducateur sportif, éducateur jeunes enfants), du social (assistante sociale, conseillère ESF), du thérapeutique (psychologue, psychothérapeute), personnel administratif et de la logistique, tous nécessaires à l'accueil et la prise en charge des personnes les plus fragiles de notre société (pour l'IME des jeunes souffrants de handicap âgés de 3 ans à 22 ans) et tous oubliés de la revalorisation salariale du SÉGUR (183 euros/mois). Les salariés grévistes iront avec le soutien de la direction et de l'association AMEFPA, à la manifestation régionale au Capitole à Toulouse pour exprimer leur ras le bol.»
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